Pablo Vivien-Pillaud recevait Manuel Cervera-Marzal pour son ouvrage Le populisme de gauche.
Soixante ans après le massacre du 17 octobre 1961, il est plus que jamais nécessaire de poursuivre le travail de mémoire autour de ce drame refoulé de l’histoire française. Dans cette perspective, nous rééditons en poche l’ouvrage essentiel de Marcel et Paulette Péju intitulé Le 17 octobre des Algériens déjà complété dans sa version de 2011 par le texte de Gilles Manceron : La triple occultation d’un massacre.
Ce livre explique la logique implacable d’un événement qui correspond aux derniers feux de la folie coloniale, paroxysme d’une période où la France s’est écartée des grands principes républicains de son histoire. La postface inédite de l’édition poche de Gilles Manceron évoque les développements survenus au cours des années 2010 concernant la mémoire de ce massacre.
Pour accompagner votre lecture nous vous proposons cette vidéo réalisée par France Culture dans laquelle Vincent Lemire retrace l'histoire de la photographie devenue le symbole de cette sanglante répression, ainsi que le documentaire de Yasmina Adi qui met en lumière cet événement au travers de témoignages et archives inédites et est intitulé Ici on noie les Algériens.
Les rendez-vous de l'histoire reviennent cette année du 6 au 10 octobre avec un programme prometteur, articulé autour du thème du travail. On y retrouvera plus de 1000 intervenants, 150 éditeurs, 300 auteurs en dédicace et 40 000 festivaliers réunis autour d’expositions, de concerts et spectacles, de séances de cinéma, de cafés et diners historiques, mais surtout de débats et conférences du salon du livre, de l’histoire "en débats" et "sous d’autres formes", ainsi que des rendez-vous de l’économie.
Mathieu Magnaudeix recevait Aurélie Trouvé pour son livre Le bloc-arc-en-ciel.
Marie-Laurence Haack était l'invitée de Luc Daireaux pour son ouvrage À la découverte des Étrusques.
Thomas Rozec recevait Bruno Amable, auteur de La résistible ascension du néolibéralisme.
Jérémie Foa intervenait autour de son livre Tous ceux qui tombent, à l'occasion d'un épisode sur le massacre de la Saint-Barthélemy.
Olivier Masclet était l'invité de Pierre Jacquemain à l'occasion de la parution en poche de son ouvrage La gauche et les cités.