En complément des indispensables reportages de la presse classique, qui donnent à voir sur le moment ce qui se passe, AOC fait depuis son lancement le pari d'un journalisme en profondeur, celui de longs textes d'analyse et d'opinion produits le plus souvent par des non-journalistes. Une approche qui a souvent et humblement recours aux hypothèses pour tenter de mieux comprendre et non pas seulement décrire l'actualité.
Dès le début de ce mouvement social et politique inédit, AOC a demandé à des chercheurs, des intellectuels, des artistes d'éclairer l'événement à la lumière de ce qu'ils savaient déjà, au regard de leurs travaux antérieurs.« Gilets jaunes : hypothèses sur un mouvement » réunit vingt-quatre textes de sociologues, géographes, historiens, philosophes, politistes, juristes, économistes et écrivains.
Nicolas Demorand recevait Bruno Latour, sociologue, auteur de l'ouvrage Où atterrir ? et du texte "Du bon usage de la consultation nationale" dans l'ouvrage collectif « Gilets jaunes » : hypothèses sur un mouvement.
Le Manifeste pour le progrès social de Marc Fleurbaey est à l'honneur dans les médias ! Ce manifeste est inspiré par la synthèse des travaux du Panel international sur le progrès social (IPSP), comme l'expliquait le journal Le Monde, en publiant début novembre une tribune des trois cents chercheurs du panel.
Sur le site de l'hebdomadaire L'Express, Claire Chartier écrit : «Riche de chiffres et de retours historiques, ce "Manifeste pour le progrès social" redonne espoir en des lendemains plus justes et solidaires.»
Le livre de Marc Fleurbaey est présenté dans le quotidien Libération : « "Volontariste", "pragmatique", le manifeste fait des recommandations pour infléchir la précarité, endiguer le pouvoir exorbitant qu'ont pris les multinationales sur les marchés, comme en politique, et revivifier une démocratie représentative usée.»
Découvrez ci-contre une vidéo réalisée par Sofie Wolthers sur le Panel international pour le progrès social.
Benjamin Netanyahou a-t-il d'ores et déjà marqué l'histoire de l'État d'Israël au même titre que David Ben Gourion, père fondateur ?
À l'occasion de la sortie de son nouvel ouvrage Main basse sur Israël, consacré au bilan de celui que l'on surnomme "Bibi", Jean-Pierre Filiu dresse pour le Dessous des cartes le bilan politique et géopolitique du « bibisme ».
Dans Homo Domesticus, James C. Scott nous livre une fresque omnivore et iconoclaste qui révolutionne nos connaissances sur l'évolution de l'humanité et sur ce que Rousseau appelait « l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes ».
Stéphane Foucart dans Le Monde, décrit James C. Scott comme « l'anthropologue américain(qui) relie la centralisation progressive du pouvoir, en Mésopotamie, à l'évolution des pratiques agricoles. »
« En matière de végétaux comme dans d'autres domaines, il faut se méfier de ce qui est trop rectiligne, trop aligné, trop domestiqué ! » nous le rappelle Eric Aeschimann dans son article de L'Obs.
Dans l'émission de France Culture, Avis critique, Julie Clarini nous explique que « C'est un livre sautillant, pétillant, plein d'idées, qui défend l'idée selon laquelle l'État aurait pu ne pas naître. »