Le 14 juillet 1953, la traditionnelle manifestation célébrant la fête nationale prend un tour tragique lorsque la police ouvre le feu sur le cortège. Les tirs ciblent essentiellement les représentants du parti nationaliste algérien et font de nombreuses victimes.
Dans son livre Les Balles du 14 juillet 1953, fruit de quatre ans d'enquête, Daniel Kupferstein fait la lumière sur ce non-dit et revient dessus pour Mediapart.
Daniel Kuperferstein, auteur de l'ouvrage "Les balles du 14 juillet 1953. Le massacre policier oublié des nationalistes algériens à Paris" prendra la parole pour rendre hommage aux victimes lors de diverses commémorations ces prochains jours.
(Photo V. Andorra)