On le sait, les dents reflètent cruellement la situation sociale de chacun. Mais au-delà de ce cliché, dans son livre Sur les dents. Ce qu’elles disent de nous et de la guerre sociale, Olivier Cyran mêle allègrement l’enquête, le récit, le jeu de pistes et le recueil de témoignages pour remonter aux sources des inégalités dentaires.
Car les dents sont tout un enjeu. Mediapart écrit qu’elles sont « un symbole métaphorique autour duquel se rejoue encore la lutte des classes […] et sur lequel se greffent les violences raciales, sociales et conjugales ». Sur Binge Audio ou dans le Elle, l’auteur parlait de ce livre au ton mordant, aussi original que passionnant.
Jean-Pierre Filiu, auteur de Main basse sur Israël. Netanyahou et la fin du rêve sioniste, était invité sur RFI.
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François Gèze nous explique ici les modalités de ce partenariat.
Bonne lecture !
À l’occasion des 150 ans de la Commune, une plongée dans les textes marquants qui éclairent l’événement.
Les écrivains contre la Commune explore un pan méconnu voire ignoré de l’histoire de la littérature française : la condamnation virulente et quasi unanime du soulèvement populaire par les hommes de lettres français. Dans cette nouvelle édition, Paul Lidsky ajoute le pendant dans l’histoire de l’art : le soutien ou l’engagement des artistes en faveur du mouvement. Un classique de l’historiographie de la Commune.
Olivier Cyran était l’invité d’Emmanuelle Bastide pour son livre Sur les dents.
Bibia Pavard, co-autrice de Ne nous libérez pas, on s'en charge, était invitée par Patrick Boucheron dans le nouveau magazine d'Arte consacré à l'histoire.
Nora Hamadi recevait Charlotte Puiseux pour son livre De chair et de fer.
Julien Magnollay reçoit la sociologue Ya-Han Chuang pour son livre Une minorité modèle ? Chinois de France et racisme anti-Asiatiques.
À l’occasion des 150 ans de la Commune, une plongée dans les plus beaux textes qui célèbrent l’événement.
Dans La Commune au présent Ludivine Bantigny s’adresse, sous la forme de lettres, aux acteurs et aux actrices de cette période. Elle y montre toute l’actualité et la modernité de l’expérience révolutionnaire et, surtout, que « la Commune n’est pas morte » !